La tradition théâtrale de Manigod – 1ère Partie


Le théâtre a débuté à Manigod dans les années 1950 sous l’instigation de la JAC (Jeunesse d’Action Catholique).
Les représentations avaient lieu dans l’ancienne Mairie Ecole au centre du village et à cette époque seuls les hommes montaient sur scène

Puis vient le temps où quelques manigodines se prennent de passion pour la scène et décident de monter elles aussi leur pièce 

Chaque représentation comporte alors deux pièces, l’une jouée par les hommes et l’autre par les femmes.
En 1960 la chorale reprend le flambeau de l'organisation des représentations théâtrales dans le but de financer la construction de la salle paroissiale (l'actuelle salle des Fêtes) 

Lors de l’inauguration, une première saynète est interprétée par André Aguettand et Jean Veyrat-Charvillon, suivie d’une seconde pièce jouée par des hommes uniquement.
La soirée est agrémentée de chansons traditionnelles savoyardes par la chorale 

Les représentations organisées par la chorale comprennent alors 3 parties : une pièce dramatique, une comédie et des chants profanes 

En 1957, dans la pièce "En voulez vous des cousines" (première photo) joueront Théophile Josserand, René Paccard, Michel Josserand et Jean Lambersend (à l'arrière).
Puis en 1958, dans la pièce "Manolita la fugitive" joueront (de gauche à droite sur la seconde photo) Madeleine et Yvette Collomb-Clerc, Claire fillion, Marie-Ange Veyrat-Durebex (dans le fauteuil), Bernadette Veyrat-Durebex et Lucienne Bernard-Granger.
C'est en 1964, pour la première fois à Manigod, qu'une grande pièce unique sera jouée, avec dans la troupe une femme : Bernadette Veyrat-Durebex 





La chorale rencontre un véritable succès, les pièces s'enchainent et certaines dates deviennent traditionnelles dont la représentation du soir de Pâques et la répétition générale devant les enfants de l’école.
La troupe fait salle comble à chaque représentation et se déplace régulièrement à Alby sur Chéran, jouant pour la bonne cause ou au profit d’associations

Mais en 1976, le théâtre s’arrête...
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